A chaque instant, nous évaluons notre environnement et les objets qui le composent. Nous pensons alors réaliser une analyse factuelle, rationnelle et consciente de leurs attributs et de nos préférences. Aujourd’hui d’ailleurs, la maîtrise de l’apparence et de la qualité des produits repose principalement sur la métrologie objet ; les technologies poussant toujours plus loin la limite de ce que l’on peut observer et mesurer physiquement. Pourtant, ces mesures objectives sont conduites par l’homme, garant de leur fiabilité et de leur interprétation.

In fine, les objets et innovations sont crées, évalués, jugés, appréciés et achetés par l’homme selon des intuitions, des préférences subjectives qu’il est difficile d’appréhender. Car nos choix et nos décisions sont empreints de subjectivité, d’émotions, de croyances, d’automatismes ; nous réalisons notre propre interprétation de la réalité physique des objets. Et tout cela, sans que nous n’en ayons nous-même conscience.

Cette réalité pose des limites certaines aux méthodes déclaratives en analyse sensorielle et lors des campagnes marketing ; aux interprétations en R&D et aux insights consommateurs pour transformer les progrès en innovation ; ou encore, au contrôle et à la définition des critères à objectiver au cœur de la qualité. NewBrain vous propose donc de prendre en compte la dimension cognitive de l’évaluation produit.